Le ministre Porte-parole, Eric Jover, a présenté le Décret du programme extraordinaire de garanties pour les entreprises et les commerces en raison de l’urgence sanitaire causée par le coronavirus SRAS-CoV-2. Le décret met en œuvre deux types de prêts à taux réduit qui seront accordés par les banques au tissu économique, et garantis par le gouvernement. Le premier, de 60 millions d’euros, est destiné à couvrir les frais de fonctionnement des entreprises et des professionnels indépendants. Le deuxième, de 70 millions d’euros, est destiné à refinancer les lettres de crédit de ces deux collectifs.
Le programme veut répondre aux entreprises qui ont été touchées par la situation d’urgence sanitaire, ce qui résulte de problèmes de trésorerie ou des difficultés à faire face à leurs frais de fonctionnement et à leurs paiements réguliers. Cependant, le Porte-parole du gouvernement a précisé que « seules les entreprises qui n’ont pas procédé à des licenciements de personnel non justifiés, depuis le 14 mars peuvent s’accueillir au programme ».
Jover a également fait référence au taux d’intérêt des prêts appliqués par les institutions financières, qui sera de 0,25 % dans le cas des crédits pour frais de fonctionnement, et de 0,10 % pour le refinancement des prêts. Dans les deux cas, le gouvernement prendra en charge les intérêts ; qui sera donc de 0 % pour les entreprises et pour les professionnels indépendants.
Finalement, le ministre a expliqué que les prêts seront autorisés par une Commission Technique, qui analysera les demandes et qui sera composée du secrétaire d’État aux Affaires financières internationales, Marc Ballestà, du secrétaire d’État pour la Diversification économique et l’Innovation, Marc Galabert, et du secrétaire d’État pour l’Économie, Èric Bartolomé. Le montant demandé doit correspondre à un maximum de trois mois d’activité. Les crédits à taux réduit ont une durée de 12 mois, renouvelable par périodes de six mois.
D’autre part, il a également fait référence à un autre décret adopté jeudi. Dans ce cas, il contient une interdiction expresse pour les pharmacies de faire de la publicité ou d’encourager la vente de leurs produits. Il réglemente également l’ancienne recommandation pour le secteur alimentaire, pour que la première heure d’ouverture soit uniquement pour les collectifs les plus vulnérables. En outre, les tâches de préparation des achats qui doivent être livrés à domicile doivent être effectuées en dehors des heures d’ouverture au public afin d’éviter les agglomérations dans les établissements.
Le département de Travail fera un suivi personnalisé des personnes licenciées
Le ministre Eric Jover a également expliqué que le Ministère en charge du travail surveille en permanence et de manière exhaustive les différentes personnes qui s’inscrivent sur le formulaire comme étant licenciées en raison de COVID-19. Les dernières données indiquent que 124 personnes se sont inscrites, dont 56 dans le secteur de l’hôtellerie et de la restauration.
En ce qui concerne les travailleurs saisonniers qui se trouvent dans le pays et qui souhaitent retourner dans leur pays d’origine, le ministre a comptabilisé 1 508 personnes. Jover a indiqué que le Ministère aux Affaires étrangères travaille pour faciliter dans la mesure du possible, le retour de ces personnes.
Le programme veut répondre aux entreprises qui ont été touchées par la situation d’urgence sanitaire, ce qui résulte de problèmes de trésorerie ou des difficultés à faire face à leurs frais de fonctionnement et à leurs paiements réguliers. Cependant, le Porte-parole du gouvernement a précisé que « seules les entreprises qui n’ont pas procédé à des licenciements de personnel non justifiés, depuis le 14 mars peuvent s’accueillir au programme ».
Jover a également fait référence au taux d’intérêt des prêts appliqués par les institutions financières, qui sera de 0,25 % dans le cas des crédits pour frais de fonctionnement, et de 0,10 % pour le refinancement des prêts. Dans les deux cas, le gouvernement prendra en charge les intérêts ; qui sera donc de 0 % pour les entreprises et pour les professionnels indépendants.
Finalement, le ministre a expliqué que les prêts seront autorisés par une Commission Technique, qui analysera les demandes et qui sera composée du secrétaire d’État aux Affaires financières internationales, Marc Ballestà, du secrétaire d’État pour la Diversification économique et l’Innovation, Marc Galabert, et du secrétaire d’État pour l’Économie, Èric Bartolomé. Le montant demandé doit correspondre à un maximum de trois mois d’activité. Les crédits à taux réduit ont une durée de 12 mois, renouvelable par périodes de six mois.
D’autre part, il a également fait référence à un autre décret adopté jeudi. Dans ce cas, il contient une interdiction expresse pour les pharmacies de faire de la publicité ou d’encourager la vente de leurs produits. Il réglemente également l’ancienne recommandation pour le secteur alimentaire, pour que la première heure d’ouverture soit uniquement pour les collectifs les plus vulnérables. En outre, les tâches de préparation des achats qui doivent être livrés à domicile doivent être effectuées en dehors des heures d’ouverture au public afin d’éviter les agglomérations dans les établissements.
Le département de Travail fera un suivi personnalisé des personnes licenciées
Le ministre Eric Jover a également expliqué que le Ministère en charge du travail surveille en permanence et de manière exhaustive les différentes personnes qui s’inscrivent sur le formulaire comme étant licenciées en raison de COVID-19. Les dernières données indiquent que 124 personnes se sont inscrites, dont 56 dans le secteur de l’hôtellerie et de la restauration.
En ce qui concerne les travailleurs saisonniers qui se trouvent dans le pays et qui souhaitent retourner dans leur pays d’origine, le ministre a comptabilisé 1 508 personnes. Jover a indiqué que le Ministère aux Affaires étrangères travaille pour faciliter dans la mesure du possible, le retour de ces personnes.
Texte et photo: Govern d’Andorra